Quatre éléments au coeur du succès du Rocket

Cette année, le Rocket de Laval connaît une saison impressionnante jusqu'à présent. Il se retrouve deuxième de sa division, juste derrière les Marlies de Toronto. De plus, ce succès est survenu malgré un début de saison moyen qui a été rattrapé par les six dernières victoires consécutives du club. Pour expliquer cette réussite, quatre éléments sautent aux yeux.

- Alex Belzile :

Le jeune Québécois a connu tout un camp d'entraînement avec le Canadien en septembre dernier, mais n'a pas pu se tailler une place avec le Tricolore. Cependant, son talent s'est exprimé sur les patinoires de la Ligue américaine, lui qui est le meilleur pointeur de l'équipe avec une récolte de six buts et cinq passes pour un total de 11 points en 15 parties jouées. Il a notamment marqué trois buts à ses six derniers matchs et a été un élément décisif en tirs de barrage.

- Les gardiens :


Cayden Primeau connaît un début de saison de rêve à sa première année dans le hockey professionnel. Il partage le filet avec Charlie Lindgren qui a connu un début de saison plus difficile, mais qui s'est bien repris par la suite. Ils ont chacun trois victoires dans cette série victorieuse de six matchs. Cette compétition à l'interne semble bénéfique pour tout le monde et le club peut compter sur du talent et de la profondeur entre les poteaux.

- La diversité et la profondeur de la menace offensive :

Au cours des six derniers matchs, tous les joueurs de l'équipe ont récolté au moins un point, sauf Ryan Poehling qui, lui, n'a, en revanche, participé qu'à quatre des six rencontres. Cette attaque très diverse permet au Rocket de toujours être une menace pour l'adversaire, peu importe le trio ou le duo de défenseurs déployé.

- Noah Juulsen :

Depuis son retour suite à sa blessure, le premier choix du Canadien au repêchage de 2015 (26e au total) est en feu. Sa blessure à l'oeil ne semble plus le gêner, lui qui est le meilleur arrière du Rocket depuis son arrivée. Il possède le meilleur différentiel du club (+3) et a récolté deux aides en sept rencontres.

Crédit : Agence QMI