Nick Suzuki prend un journaliste de TVA Sports par surprise en répondant en français à une question

À Montréal, le hockey, c'est comme une religion, et le français est au coeur de la culture qui entoure les Habs. Les supporters apprécient quand les joueurs, surtout ceux qui viennent d'ailleurs, font l'effort d'apprendre et de parler français. Ça montre un respect pour la ville, ses racines et ses fans.

Quand un joueur comme Cole Caufield ou Arber Xhekaj tente de s'exprimer en français, même avec un accent ou quelques maladresses, ça crée un lien spécial avec la foule. Les partisans y voient un signe d'engagement, une volonté de s'intégrer à la communauté.

C'est pas juste une question de communication; c'est une marque de fierté pour les Québécois, qui chérissent leur langue et leur héritage.

Un joueur qui baragouine quelques mots en français lors d'une entrevue ou sur la glace, ça fait vibrer le Centre Bell! Bref, parler français, c'est une façon pour les joueurs de dire : « Je suis un des vôtres », et ça, les fans du CH l'adorent.

Dans une entrevue accordée au journaliste Anthony Martineau, le capitaine du Canadien Nick Suzuki a démontré qu'il comprenait bien l'importance de ce concept en adressant quelques mots en français au journaliste pour débuter l'entrevue.

Après ces quelques mots, le capitaine du CH a discuté pendant quelques minutes avec Anthony Martineau, notamment au sujet de la Fondation Asista, qui sauve des chiens de l'abandon et de la maltraitance pour en faire des soins d'assistance.

Insistant sur ses attentes élevées envers son équipe cette saison, Nick Suzuki s'est aussi réjoui de l'arrivée de Noah Dobson et Zachary Bolduc.