Carey Price : détails de son contrat et scénarios d'échange possibles pour le Canadien de Montréal
Crédit photo: Journal de Montréal
De plus en plus, la possibilité d'échanger le contrat de Carey Price revient dans les manoeuvres réalisables pour le directeur général Kent Hughes en vue de son travail au cours des prochains mois.
Il est important de préciser que ce serait la dernière année du contrat de Price qui serait transigée. Comme vous savez, le gardien ne reviendra pas au jeu, même s'il est échangé à une autre organisation.
Dans un article détaillé à TVA Sports, le journaliste Nicolas Cloutier relate quelques faits concernant les technicalités entourant le contrat de Price:
-Price écoulera en 2025-2026 la dernière année de son contrat de 8 ans, d'une valeur totale de 84 M$. Son salaire pour la saison à venir est de 7,5 M$.
-«N'est-ce pas plutôt 2 M$?» Non! À son salaire de base de 2 M$, il faut ajouter le dernier boni à la signature qui doit être versé à Price, lequel est de 5,5 M$.
-Il a été rapporté sur certaines plateformes que ce boni sera versé à Price le 1er juillet. On nous dit qu'il sera plutôt versé le 1er septembre, information que le collègue Renaud Lavoie a corroborée pour nous.
-Pourquoi ça nous intéresse? Parce qu'une équipe qui obtient Price avant le 1er septembre doit assumer le versement de ce boni.
-Nous avons cependant des raisons de croire que ce boni est couvert en bonne partie par la compagnie d'assurance avec laquelle le Canadien fait affaire.
-Nous ne pouvons confirmer que les assurances couvrent 60% du boni à la signature (et du salaire) de Price sans avoir le contrat en main propre, mais on peut présumer que les assurances en couvrent une portion appréciable.
- via l'article de Nicolas Cloutier
-«N'est-ce pas plutôt 2 M$?» Non! À son salaire de base de 2 M$, il faut ajouter le dernier boni à la signature qui doit être versé à Price, lequel est de 5,5 M$.
-Il a été rapporté sur certaines plateformes que ce boni sera versé à Price le 1er juillet. On nous dit qu'il sera plutôt versé le 1er septembre, information que le collègue Renaud Lavoie a corroborée pour nous.
-Pourquoi ça nous intéresse? Parce qu'une équipe qui obtient Price avant le 1er septembre doit assumer le versement de ce boni.
-Nous avons cependant des raisons de croire que ce boni est couvert en bonne partie par la compagnie d'assurance avec laquelle le Canadien fait affaire.
-Nous ne pouvons confirmer que les assurances couvrent 60% du boni à la signature (et du salaire) de Price sans avoir le contrat en main propre, mais on peut présumer que les assurances en couvrent une portion appréciable.
- via l'article de Nicolas Cloutier
Les possibilités sont plutôt minces pour Kent Hughes et les Canadiens
Tout de même, pour profiter de cette marge de manoeuvre supplémentaire, Kent Hughes devra être créatif. Présentement, on peut cibler quatre formations qui sont en mesure de pouvoir absorber le contrat de Price pour arriver au plancher salarial.
Il s'agit des Ducks, des Blue Jackets, des Sharks et des Blackhawks. Par contre, on peut se demander pourquoi une de ces équipes aiderait les Canadiens?
Le directeur général des Canadiens devra peut-être utiliser sa baguette magique pour y parvenir.
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