Ultimatum pour Erik Karlsson à San Jose

logo30 Plusieurs rumeurs circulent présentement concernant l’avenir d’Erik Karlsson, qui deviendra agent libre sans restriction à compter du 1er juillet. Une des plus récentes rumeurs est celle affirmant que Karlsson s’attend à recevoir une offre compétitive de la part des Sénateurs et/ou du Canadien.

Pour lire cette rumeur, cliquez ici.

Voilà que deux autres histoires se rajoutent au dossier Karlsson aujourd’hui.

Premièrement, nous apprenions, hier soir, que Karlsson a subi une opération à l’aine. Il a d’ailleurs été aperçu au match numéro 3 de la finale de la NBA, entre les Raptors de Toronto et les Warriors de Golden State, avec des béquilles.



Il s’agit de la blessure qu’il a subie lors de la finale de l’Ouest face aux Blues de Saint-Louis et qui semblait le faire souffrir beaucoup, lui qui a essayé de jouer malgré la douleur. Bien que Karlsson soit supposé être remis à 100% de cette opération à temps pour le début de la saison 2019-20, c’est à se demander si cette intervention jouera sur sa remise en forme et son entrainement et si cela pourrait changer sa valeur le 1er juillet prochain.

Deuxièmement, selon ce que rapporte Elliotte Friedman, du réseau Sportsnet, les Sharks de San Jose auraient donné un ultimatum au clan Karlsson en vue d’une future prolongation de contrat. On se rappelle que Karlsson n’avait toujours pas fermé la porte à un retour à San Jose, mais cela laisse entrevoir que les Sharks n’ont pas l’intention d’attendre jusqu’au 1er juillet pour signer le défenseur de 27 ans.

Toujours selon Friedman, une offre concrète aurait été déposée à Karlsson de la part des Sharks et ceux-ci s’attendent à une réponse de la part du Suédois d’ici la fin de semaine.

Dans le cas d’un refus de la part de Karlsson, les Sharks seront peut-être tentés d’échanger le défenseur avant que celui-ci ne devienne libre comme l’air le 1er juillet, un peu comme l’ont fait les Jets de Winnipeg en envoyant Kevin Hayes aux Flyers de Philadelphie (pour les détails de la transaction, cliquez ici).

À suivre...