Pageau obligé d'obéir à un étrange règlement avant de pouvoir entrer dans le vestiaire des Islanders

Publié le 26 février 2020 à 2h06
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Lundi, en matinée, lors de la date limite des transactions, les Sénateurs et les Islanders ont procédé à une transaction qui a fait passer Jean-Gabriel Pageau d’Ottawa à New York (Article ici). Un peu plus tard durant la journée, les Isles ont annoncé s’être entendus avec leur nouvelle acquisition sur les termes d’une prolongation de contrat. Il s’agit d’une entente d’une durée de six ans d’un montant total de 30 millions$ (Détails ici).

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Avant d’apposer sa signature au bas du document, Pageau a cependant dû accepter de se soumettre à une série de règlements puisque Lou Lamoriello est un homme qui a la réputation de mener ses organisations de façon ordonnée et disciplinée. Ce qu’il a évidemment fait.

Mardi, Pageau devait embarquer sur la patinoire afin de participer à son premier entraînement avec ses coéquipiers, mais avant d’avoir l’autorisation de se rendre à son casier dans le vestiaire, celui-ci a dû effectuer un changement afin d’obéir aux règlements de sa nouvelle équipe.



Avant de rentrer au vestiaire, Pageau a, en effet, dû raser moustache et barbiche au menton puisque le DG, et aussi président de l’organisation, refuse que les joueurs qui sont sous sa direction arborent des poils au visage. Il en était de même lorsqu’il était le directeur général des Maple Leafs de Toronto. Depuis qu’il a quitté l’organisation et qu’il a été remplacé par Kyle Dubas, il est évident qu’au moins un règlement a changé. C’est Auston Matthews qui doit assurément être content puisqu’il peut maintenant arborer la moustache qui lui donne des airs de Raul Julia personnifiant Gomez Addams dans le film « La famille Addams ».Voici donc une photo du nouveau Jean-Gabriel Pageau fraîchement rasé :

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Ce n’est pas la première fois que Pageau a cette apparence, mais il est certain qu’il n’a pas eu besoin, cette fois-ci, de se faire prier pour accepter de dire adieu à sa moustache et sa barbiche. C’est vraiment peu cher payé, en effet, pour évoluer avec une équipe connaissant davantage de succès d’autant plus qu’il avait non pas une seule, mais plutôt 30 millions de raisons de dire oui.

Crédit : Hockeyfeed
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