Ce journaliste a demandé à St-Louis s'il se tournait vers l'alcool après une défaite pour gérer ses émotions.
Bien que la question ait été posée avec un ton humoristique, elle a semblé dépasser les limites du respect pour l'intimité d'un professionnel.
Martin St-Louis a réagi avec un sourire, répondant qu'il ne se tournerait pas vers l'alcool pour se remettre d'une défaite, mais qu'il reconnaissait que « les bières ont meilleur goût après une victoire ».
Est-ce que c'était vraiment nécessaire comme question? Pour vrai là?
Il y a une frontière entre les questions professionnelles légitimes et les intrusions dans la vie personnelle d'un individu à ne pas franchir. Échec dans ce cas-ci.
Il est important de se rappeler que les entraîneurs, comme tous les autres, sont des êtres humains. Interroger quelqu'un sur ses habitudes personnelles, surtout lorsqu'il s'agit de sujets aussi sensibles que l'alcool, mérite d'être évité tout court.
D'autant plus lorsqu'il s'agit d'une figure publique qui porte la pression de la réussite sportive au quotidien. Bien qu'une telle question puisse être perçue comme intrusive, elle n'a pas provoqué de réaction violente de la part de St-Louis, qui a su faire preuve de professionnalisme.
Dions qu'il y a une ligne fine entre la curiosité et l'indiscrétion.
SONDAGE | ||
Est-ce que le journaliste aurait dû éviter cette question? | ||
Oui | 823 | 76.2 % |
Non | 257 | 23.8 % |
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